L’ergonomie se définit comme l’étude de notre façon de travailler. L’objectif est d’examiner les conditions de travail et les relations entre les personnes et les machines dans le but de les améliorer en les rendant confortables et sécuritaires.
Pour éviter les blessures, il est important d’interagir en harmonie avec son milieu de travail. Pour ce faire, les postures inconfortables et les mouvements répétés doivent être limités ou évités. De plus, l’organisation ergonomique de l’environnement de travail doit être prise en compte. Le travail doit être organisé de manière à ce que l’espace offert à l’employé soit ajusté à son corps et à ses mouvements.
Le travail à l’ordinateur augmente drastiquement les risques de microtraumatismes répétés (MTR), lesquels sont causés par la répétition de petites tensions musculaires. En effet, à lui seul, le changement de la position de l’écran, du clavier et de la souris peut faire une grande différence sur le confort de l’employé.
Les MTR les plus fréquents sont les tendinites et les douleurs dorsales, lesquelles sont attribuées à des mouvements répétés et de l’inaction sur une longue période devant l’écran d’ordinateur.
Afin d’éviter les lésions musculosquelettiques causées par le travail de bureau, l’ajustement de la posture devant son poste de travail est primordial. Une bonne harmonie entre la posture, la surface de travail, l’écran, le fauteuil et les accessoires est essentielle à la prévention des douleurs chroniques.
Finalement, il est à retenir qu’être en position assise sur une longue période de temps cause de l’inconfort. Pour minimiser les risques de blessures et demeurer confortable tout au long de la journée, il est suggéré de faire divers étirements, et ce, une fois à l’heure. Les raideurs au cou, aux épaules et au dos seront ainsi diminuées ou évitées.
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La Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) prend les grands moyens pour diminuer le nombre d’accidents du travail. Elle redouble d’efforts pour sensibiliser les employeurs, mais aussi auprès des travailleurs à risques. Pensons notamment aux campagnes de sensibilisation annuelles.
L’Office québécois de la langue française décrit la diligence raisonnable comme un « degré de prudence, d’activité, de réaction et d’attention auquel on peut à bon droit s’attendre de la part d’une personne raisonnable et prudente et dont fait habituellement preuve cette personne raisonnable et prudente face à une situation donnée ».