L’ergonomie se définit comme l’étude de notre façon de travailler. L’objectif est d’examiner les conditions de travail et les relations entre les personnes et les machines dans le but de les améliorer en les rendant confortables et sécuritaires.
Pour éviter les blessures, il est important d’interagir en harmonie avec son milieu de travail. Pour ce faire, les postures inconfortables et les mouvements répétés doivent être limités ou évités. De plus, l’organisation ergonomique de l’environnement de travail doit être prise en compte. Le travail doit être organisé de manière à ce que l’espace offert à l’employé soit ajusté à son corps et à ses mouvements.
Le travail à l’ordinateur augmente drastiquement les risques de microtraumatismes répétés (MTR), lesquels sont causés par la répétition de petites tensions musculaires. En effet, à lui seul, le changement de la position de l’écran, du clavier et de la souris peut faire une grande différence sur le confort de l’employé.
Les MTR les plus fréquents sont les tendinites et les douleurs dorsales, lesquelles sont attribuées à des mouvements répétés et de l’inaction sur une longue période devant l’écran d’ordinateur.
Afin d’éviter les lésions musculosquelettiques causées par le travail de bureau, l’ajustement de la posture devant son poste de travail est primordial. Une bonne harmonie entre la posture, la surface de travail, l’écran, le fauteuil et les accessoires est essentielle à la prévention des douleurs chroniques.
Finalement, il est à retenir qu’être en position assise sur une longue période de temps cause de l’inconfort. Pour minimiser les risques de blessures et demeurer confortable tout au long de la journée, il est suggéré de faire divers étirements, et ce, une fois à l’heure. Les raideurs au cou, aux épaules et au dos seront ainsi diminuées ou évitées.
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Le monoxyde de carbone est le résultat de la combustion incomplète de produits organiques tels que l’essence, le propane, le bois, le papier, le charbon et l’huile à chauffage. C’est un gaz qui asphyxie et qui se diffuse rapidement dans l’air. Il est sans odeur, sans couleur et sans saveur donc très néfaste pour la santé et, dans le pire des cas, peut même être mortel. Il est impossible à détecter sans la présence d’un détecteur de monoxyde de carbone.
Cette crise sanitaire, cette pandémie et le confinement qui a suivi créeront des problèmes et des besoins en santé. Déjà et rapidement, des gens ont souffert et souffrent. Déjà et rapidement, des cris ont été lancés quant aux problèmes de santé psychologique et physique. Notamment, l’Association des pédiatres du Québec, l’Ordre des conseillers en ressources humaines agréés (CRHA) et l’Ordre des psychologues du Québec (OPQ) ont sonné l’alarme, dans leur domaine respectif, quant aux impacts futurs.